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En 2004, tout commence par une bague. Quatre motifs des archives Boucheron, qu’a priori tout opposait, ont été réunis pour former une esthétique singulière. Urbaine et graphique, la collection Quatre puise dans l’héritage de la Maison pour en extraire l’essence et devenir la signature contemporaine Boucheron. Une icône, symbole de force et de protection. Et pour cause, son poids d’or de 13,88g est le plus imposant des bagues de la place Vendôme.
Une création infusée du passé, délibérément tournée vers l’avenir. Découvrez les motifs d’archives qui sont à l’origine de la collection Quatre. Chacun rend hommage à un pan de l’histoire Boucheron.
À l’origine, le grosgrain est une soie côtelée, souvent utilisée pour la création de rubans. Ce motif, présent dans les archives depuis les années 1860, fait directement référence à l’héritage couture et au passé drapier de la famille Boucheron.
Grand classique de la joaillerie, présent dans les créations Boucheron depuis 1892 et qui témoigne du savoir-faire de la Maison. En écho à la dureté de ces pierres précieuses, la ligne de diamants symbolise l’éternité.
Clin d’œil aux pavés parisiens, et plus spécifiquement à ceux de la place Vendôme, où Frédéric Boucheron est le premier des grands joailliers contemporains à ouvrir une boutique en 1893. Ce motif apparaît dans les créations Boucheron dès 1911.
Inspiré d’un motif architectural, on le retrouve dès les années 1860 dans les créations Boucheron. Ces deux anneaux mêlés en un symbolisent l’amour qui unit deux êtres.
Subtile fusion entre savoir-faire traditionnels et technologies de pointe, chaque code est façonné avec patience et souci du détail. Quatre n’est pas une bague comme les autres. Elle est composée de 4 anneaux bien distincts, travaillés individuellement puis assemblés pour former l’esthétique iconique de Boucheron.
De la première étape (la composition des alliages), à l’assemblage final des quatre anneaux, chaque geste est effectué avec précision au centième près, le moindre écart risquant de compromettre le résultat final. Un dernier son, un léger « clic », scelle la perfection de cette création, dont les quatre anneaux sont assemblés manuellement sans colle ni soudure, à l’aide d’une presse.
Dans cette collection, la technologie vient compléter et servir les techniques joaillières traditionnelles sans jamais les remplacer. Pour la fabrication de la bague Quatre, des machines à commandes numériques permettent d’exécuter des tâches qui requièrent une précision au centième près, irréalisables par la main de l’homme. C’est par exemple le cas du tournage, l’étape de sculpture de l’or qui donne la forme extérieure et intérieure aux anneaux de la bague.
C’est en 1968, dans un contexte libertaire, que Serpent Bohème voit le jour. Véritable sculpture d’or, ce bijou de sentiment incarne tout le savoir-faire des artisans Boucheron.
En 1879, Frédéric Boucheron invente un collier qui révolutionne les codes de la Haute Joaillerie. À cette époque où les bijoux et les tenues brident encore le corps des femmes, Boucheron leur offre la liberté de se parer elles-mêmes grâce à ce collier sans fermoir, qui s’enfile d’un simple geste autour du cou.
1947 : le modernisme est en plein essor et prône un retour à l’essentiel. C’est dans ce contexte que Gérard Boucheron, petit-fils de Frédéric Boucheron, imagine Reflet : une montre au design novateur, et surtout, au fermoir invisible, dissimulé dans le boîtier.